Sensibiliser et informer les agriculteurs et acteurs de captage d'eau potable prioritaires à des techniques vectrices d'amélioration de la qualité de l'eau
2017
Action chaînée avec : Sensibiliser et informer les agriculteurs et acteurs de captage d'eau potable prioritaires à des techniques vectrices d'amélioration de la qualité de l'eau - 2016
Porteur de l'action : Fédération Régionale des Centres d'Initiatives et de Valorisation de l'Agriculture et du Milieu rural Pays de la Loire (FRCIVAM) (FRCIVAM PDL), Association
4 rue de la résistance , Saffré
02 40 72 65 05
Thème
Environnement
Programmes
-
Programme PRSE 3 : Plan Régional Santé Environnement
Contexte
Sur les aires d'alimentation des captages prioritaires des Pays de la Loire, les pollutions diffuses d'origine agricole sont particulièrement en cause. Les productions les plus fréquemment rencontrées sur ces aires sont l'élevage de ruminants et la polyculture-élevage. Les critères de déclassement concernent les nitrates, les pesticides ou les deux.
L'analyse des pratiques et dynamiques agricoles des exploitations en élevage ruminant et en polyculture élevage laisse fréquemment apparaître :
- des systèmes fourragers basés sur le maïs ensilage et relativement gourmands en intrants (engrais, pesticides et aliments concentrés). Les prairies et l'optimisation de leur ressource alimentaire pour le troupeau y sont souvent considérées comme secondaires,
- une tendance au développement des cultures de vente, voire pour certains un abandon pure et simple de l'élevage et donc des surfaces en herbe, compte tenu à la fois des contraintes de travail spécifiques de cette activité et de la faiblesse (ou de la tendance baissière) des prix des produits viande et lait.
Or du point de vue de l'enjeu de la qualité de l'eau, les prairies de longue durée possèdent de nombreux atouts. D'après une expertise collective INRA de 2012 (Expertise collective INRA coordonnée par JL Peyraud et P. Cellier, mars 2012. Les flux d'azote liés aux élevages : réduire les pertes, rétablir les équilibres, 527 p.), ces atouts sont en particulier :
- moins d'érosion : en raison du travail au sol moins fréquent, les pertes de sol sont de 0,3 t/ha/an sous prairie contre 3,6 t/ha/an sous culture ;
- moins de pollution par les pesticides, avec des charges de traitement de 17 €/ha en système herbager contre 52 €/ha dans les exploitations laitières en général ;
- moins de pollution par les nitrates, les excédents d'azote étant de 17 kg/ha dans un système herbager contre 94 kg d'azote/ha en général.
Par ailleurs, les haies bocagères plus présentes en zone d'élevage constituent des filtres efficaces pour les éléments polluants de l'eau. Leur maintien, voire leur redéveloppement, constituent donc également un atout dans la reconquête de la qualité de l'eau. Il en va de même pour les arbres de ripisylves qui permettent en plus de maintenir les berges.
L'action vise à sensibiliser les agriculteurs de captages à des techniques et approches ayant moins d'impact sur la qualité de l'eau. Pour cela, elle propose des apports d'information techniques visant à :
- maximiser l'autonomie alimentaire de l'élevage par une valorisation pérenne des prairies et une approche économe des cultures complémentaires,
- diffuser et faire connaître les pratiques de valorisation durable des haies bocagères.
L'analyse des pratiques et dynamiques agricoles des exploitations en élevage ruminant et en polyculture élevage laisse fréquemment apparaître :
- des systèmes fourragers basés sur le maïs ensilage et relativement gourmands en intrants (engrais, pesticides et aliments concentrés). Les prairies et l'optimisation de leur ressource alimentaire pour le troupeau y sont souvent considérées comme secondaires,
- une tendance au développement des cultures de vente, voire pour certains un abandon pure et simple de l'élevage et donc des surfaces en herbe, compte tenu à la fois des contraintes de travail spécifiques de cette activité et de la faiblesse (ou de la tendance baissière) des prix des produits viande et lait.
Or du point de vue de l'enjeu de la qualité de l'eau, les prairies de longue durée possèdent de nombreux atouts. D'après une expertise collective INRA de 2012 (Expertise collective INRA coordonnée par JL Peyraud et P. Cellier, mars 2012. Les flux d'azote liés aux élevages : réduire les pertes, rétablir les équilibres, 527 p.), ces atouts sont en particulier :
- moins d'érosion : en raison du travail au sol moins fréquent, les pertes de sol sont de 0,3 t/ha/an sous prairie contre 3,6 t/ha/an sous culture ;
- moins de pollution par les pesticides, avec des charges de traitement de 17 €/ha en système herbager contre 52 €/ha dans les exploitations laitières en général ;
- moins de pollution par les nitrates, les excédents d'azote étant de 17 kg/ha dans un système herbager contre 94 kg d'azote/ha en général.
Par ailleurs, les haies bocagères plus présentes en zone d'élevage constituent des filtres efficaces pour les éléments polluants de l'eau. Leur maintien, voire leur redéveloppement, constituent donc également un atout dans la reconquête de la qualité de l'eau. Il en va de même pour les arbres de ripisylves qui permettent en plus de maintenir les berges.
L'action vise à sensibiliser les agriculteurs de captages à des techniques et approches ayant moins d'impact sur la qualité de l'eau. Pour cela, elle propose des apports d'information techniques visant à :
- maximiser l'autonomie alimentaire de l'élevage par une valorisation pérenne des prairies et une approche économe des cultures complémentaires,
- diffuser et faire connaître les pratiques de valorisation durable des haies bocagères.
Objectif de l'action
- Sensibiliser et informer les éleveurs et polyculteurs-éleveurs aux intérêts et aux techniques du pâturage tournant et de valorisation des prairies et de l'introduction de métells dans les rotations pour développer l'autonomie de son élevage et générer des économies d'intrants.
- Sensibiliser et informer les agriculteurs ainsi que d'autres acteurs du territoire (agents de collectivités, propriétaires forestiers, particuliers) à l'entretien et la valorisation pérenne des haies bocagères.
- Sensibiliser et informer les agriculteurs ainsi que d'autres acteurs du territoire (agents de collectivités, propriétaires forestiers, particuliers) à l'entretien et la valorisation pérenne des haies bocagères.
Description
Quatre demi-journées techniques ont été mises en œuvre sur 4 captages prioritaires distincts des Pays de la Loire. Les objectifs poursuivis ont été de réussir à susciter l’intérêt d’un maximum d’agriculteurs des aires de captage prioritaires autour de questions techniques très opérationnelles, concourant à réduire les impacts de l’agriculture sur la qualité de l’eau destinée à l’alimentation humaine :
1. Maitriser ses charges grâce au pâturage tournant.
2. Pourquoi ? comment ? mettre en place un système herbager pâturant ?
3. L'herbe pâturée, une solution pour les exploitations laitières en difficulté.
4. Comment entretenir mon réseau bocager et valoriser le bois sur ma ferme ?
- En Loire Atlantique :
La demi-journée a été organisée sur le GAEC du Blanc Verger chez Hubert et Guillaume JAHAN le 4 avril 2017. Elle portait sur « la mise en place d’un système herbager pâutrant » et a permis d’aborder, d’une part les étapes d’évolution d’un système de production classique vers un système herbager pâturant, et d’autre part les repères techniques pour le pâturage en général (aménagement de la ferme, découpage de paddocks, gestion des lots d’animaux) et le pâturage de printemps en particulier (hauteur d’herbe, gestion des stocks). Cette demi-journée a été organisée autour d’interventions et de témoignages d’agriculteurs du GAEC du Blanc Verger et d’agriculteurs expérimentés du CIVAM Défis 44, et a donné lieux à des échanges riches concernant l’organisation du pâturage tournant et ses intérêts économiques, sociaux et environnementaux (qualité de l’eau notamment). 45 personnes, essentiellement des agriculteurs, étaient présents sur cette demi-journée
- En Maine et Loire :
La demi-journée a été organisée sur la ferme de Mathilde et Denis GEMIN le 12 octobre 2017. Elle portait sur « le réseau bocager et la valorisation du bois sur la ferme ». L’après-midi a débuté par une présentation du CIVAM, de Mission Bocage (arbre champêtre et agroforesterie) et de Symbiose (taille et soins aux arbres). Elle s’est poursuivie avec l’intervention de Mathilde et Denis GEMIN sur leur projet bois-énergie avec une visite en fin de journée de leur chaufferie bois-plaquettes. La visite de l’exploitation a permis à Marc FONTENEAU (Mission bocage) d’intervenir sur les intérêts environnementaux, paysagers et économiques de la haie puis à Grégory ROULLEAU (Symbiose) de faire un zoom sur la taille des arbres têtards avec une démonstration de coupe. Cette demi-journée a permis d’évoquer les techniques d’interventions sur les jeunes arbres ou les haies diversifiées, l’entretien de la haie dans l’objectif de sa valorisation, de parler de physiologie de l’arbre, de méthode de coupe.
L’ensemble des interventions a permis de mettre en avant l’intérêt de l’entretien pérenne du bocage, pour le cadre de vie, la qualité de l’eau et le maintien de la biodiversité. Une dizaine de personnes a participé à cette demi-journée.
- En Mayenne :
Une centaine de personnes a participé à la demi-journée technique à Méral, le 3 avril 2017 chez Jérome SABIN, sur la thématique « Maitriser ses charges grâce au pâturage tournant » : agriculteurs (pour la plupart inconnus du réseau), personnes en formation (CFPPA Laval, BPREA Evron…) et représentants de Bassins Versants (Symbolip, SIAEP Chéméré le Roi). Cette demi-journée a été l’occasion pour le SYMBOLIP (Syndicat du Bassin Versant de l’Oudon) de présenter les actions menées avec les agriculteurs dans l’objectif de protéger la ressource en eau potable, dont les MAEC, mesure dans laquelle l’agriculteur accueillant était engagé.
Les participants ont pu assister à 2 ateliers en sous-groupes : 1) Sur la réduction des traitements phytosanitaires sur les cultures, 2) Sur la mise en place et la gestion d’un système herbager pâturant avec l’intervention, de Sylvagraire, présentant les atouts de l’agroforesterie dans le cadre du pâturage tournant.
- En Sarthe :
Une quarantaine de personnes a participé à cette demi-journée qui s’est déroulée à Bouër le 28 septembre 2017, autour du thème « l’herbe pâturée, une solution pour les exploitations laitières en difficulté » en partenariat avec Solidarité Paysans 72. Après une présentation de historique de la ferme et la visite de l’exploitation, l’animateur a présenté le projet RADITS, projet visant à accompagner des agriculteurs laitiers en difficulté en cherchant des marges de sécurité, notamment par la modification de l’alimentation du troupeau, en favorisant le pâturage et en rationalisant la nourriture en hiver.
La demi-journée a permis de mettre en avant la corrélation entre intérêt économique pour les éleveurs, et intérêt environnemental (qualité de l’eau notamment) d’un système herbager pâturant.
1. Maitriser ses charges grâce au pâturage tournant.
2. Pourquoi ? comment ? mettre en place un système herbager pâturant ?
3. L'herbe pâturée, une solution pour les exploitations laitières en difficulté.
4. Comment entretenir mon réseau bocager et valoriser le bois sur ma ferme ?
- En Loire Atlantique :
La demi-journée a été organisée sur le GAEC du Blanc Verger chez Hubert et Guillaume JAHAN le 4 avril 2017. Elle portait sur « la mise en place d’un système herbager pâutrant » et a permis d’aborder, d’une part les étapes d’évolution d’un système de production classique vers un système herbager pâturant, et d’autre part les repères techniques pour le pâturage en général (aménagement de la ferme, découpage de paddocks, gestion des lots d’animaux) et le pâturage de printemps en particulier (hauteur d’herbe, gestion des stocks). Cette demi-journée a été organisée autour d’interventions et de témoignages d’agriculteurs du GAEC du Blanc Verger et d’agriculteurs expérimentés du CIVAM Défis 44, et a donné lieux à des échanges riches concernant l’organisation du pâturage tournant et ses intérêts économiques, sociaux et environnementaux (qualité de l’eau notamment). 45 personnes, essentiellement des agriculteurs, étaient présents sur cette demi-journée
- En Maine et Loire :
La demi-journée a été organisée sur la ferme de Mathilde et Denis GEMIN le 12 octobre 2017. Elle portait sur « le réseau bocager et la valorisation du bois sur la ferme ». L’après-midi a débuté par une présentation du CIVAM, de Mission Bocage (arbre champêtre et agroforesterie) et de Symbiose (taille et soins aux arbres). Elle s’est poursuivie avec l’intervention de Mathilde et Denis GEMIN sur leur projet bois-énergie avec une visite en fin de journée de leur chaufferie bois-plaquettes. La visite de l’exploitation a permis à Marc FONTENEAU (Mission bocage) d’intervenir sur les intérêts environnementaux, paysagers et économiques de la haie puis à Grégory ROULLEAU (Symbiose) de faire un zoom sur la taille des arbres têtards avec une démonstration de coupe. Cette demi-journée a permis d’évoquer les techniques d’interventions sur les jeunes arbres ou les haies diversifiées, l’entretien de la haie dans l’objectif de sa valorisation, de parler de physiologie de l’arbre, de méthode de coupe.
L’ensemble des interventions a permis de mettre en avant l’intérêt de l’entretien pérenne du bocage, pour le cadre de vie, la qualité de l’eau et le maintien de la biodiversité. Une dizaine de personnes a participé à cette demi-journée.
- En Mayenne :
Une centaine de personnes a participé à la demi-journée technique à Méral, le 3 avril 2017 chez Jérome SABIN, sur la thématique « Maitriser ses charges grâce au pâturage tournant » : agriculteurs (pour la plupart inconnus du réseau), personnes en formation (CFPPA Laval, BPREA Evron…) et représentants de Bassins Versants (Symbolip, SIAEP Chéméré le Roi). Cette demi-journée a été l’occasion pour le SYMBOLIP (Syndicat du Bassin Versant de l’Oudon) de présenter les actions menées avec les agriculteurs dans l’objectif de protéger la ressource en eau potable, dont les MAEC, mesure dans laquelle l’agriculteur accueillant était engagé.
Les participants ont pu assister à 2 ateliers en sous-groupes : 1) Sur la réduction des traitements phytosanitaires sur les cultures, 2) Sur la mise en place et la gestion d’un système herbager pâturant avec l’intervention, de Sylvagraire, présentant les atouts de l’agroforesterie dans le cadre du pâturage tournant.
- En Sarthe :
Une quarantaine de personnes a participé à cette demi-journée qui s’est déroulée à Bouër le 28 septembre 2017, autour du thème « l’herbe pâturée, une solution pour les exploitations laitières en difficulté » en partenariat avec Solidarité Paysans 72. Après une présentation de historique de la ferme et la visite de l’exploitation, l’animateur a présenté le projet RADITS, projet visant à accompagner des agriculteurs laitiers en difficulté en cherchant des marges de sécurité, notamment par la modification de l’alimentation du troupeau, en favorisant le pâturage et en rationalisant la nourriture en hiver.
La demi-journée a permis de mettre en avant la corrélation entre intérêt économique pour les éleveurs, et intérêt environnemental (qualité de l’eau notamment) d’un système herbager pâturant.
Partenaire de l'action
- 49 : Mission Bocage, Symbiose
- 53 : SYMBOLIP (Bassin versant de l’Oudon), Sylvagraire
- 72 : Solidarité Paysans
- 53 : SYMBOLIP (Bassin versant de l’Oudon), Sylvagraire
- 72 : Solidarité Paysans
Année de début de réalisation
2017
Année de fin de réalisation
2017
Durée
10 mois
Fréquence
Répétitive
Public
Adultes 18-55 ans, Autre profession
Nombre de personnes concernées
200 personnes
Type d'action
Communication, information, sensibilisation
Outils et supports créés :
Tour des prairie
Affiche
FRCIVAM Pays de la Loire
Maîtriser ses charges grâce au pâturage tournant
Affiche
FRCIVAM Pays de la Loire
Plaquette régionale de communication pour promouvoir les différentes demi-journées techniques organisées auprès des acteurs régionaux (réseaux de développement agricole, partenaires institutionnels, etc.) et locaux (agriculteurs des aires de captage, SIAEP, BV, etc.).
Outils et supports utilisés :
- Interventions des agriculteurs accueillants et d’autres agriculteurs expérimentés des CIVAM départementaux sur les questions traitées (pâturage tournant, bocage…) - Outils de pédagogie active : nombreux temps d’échanges, approche en sous-groupes, évaluation participative de la journée… - Interventions d’acteurs territoriaux spécialisés : SYMBOLIP, Sylvagraire, Mission Bocage…
Communication et valorisation de l'action
- Diffusion de la plaquette de communication au mailing régional, aux mailings départementaux,
- Relais mail efficace par les acteurs des captages prioritaire aux agriculteurs des aires de captage, aux collectivités,
- Relais de l’invitation sur les sites internet de ces acteurs,
- Communiqués de presse avant chacune des demi-journées,
- Articles presse généraliste et/ou spécialisée avant / après (configurations différentes en fonction des demi-journées),
- Article de valorisation dans les bulletins d’information des CIVAM départementaux.
- Relais mail efficace par les acteurs des captages prioritaire aux agriculteurs des aires de captage, aux collectivités,
- Relais de l’invitation sur les sites internet de ces acteurs,
- Communiqués de presse avant chacune des demi-journées,
- Articles presse généraliste et/ou spécialisée avant / après (configurations différentes en fonction des demi-journées),
- Article de valorisation dans les bulletins d’information des CIVAM départementaux.
Financeur
- - Conseil régional : 2 848 € €
- - DREAL : 7 500 € €
- Autre : ADEME : 1 170 € ; autofinancement : 4 054 € €
Evaluation de l'action
INDICATEURS DE MISE EN OEUVRES
- Nombre de réunions ou de points de préparation nécessaires : entre 2 et 3 par demi-journée.
- Supports de communication produits : un support de communication régional, décliné au niveau de chaque département, et largement diffusé dans les réseaux de développement agricole, tant au niveau régional qu’au niveau local.
- Nombre d’articles diffusés, de mails envoyés : chaque demi-journée technique a donné lieu à au moins un article de valorisation, par la presse généraliste/agricole et/ou via les bulletins d’informations des CIVAM départementaux largement diffusés aux agriculteurs et aux partenaires (collectivités, syndicats d’eau, Bassins Versants…).
- Programme des demi-journées.
INDICATEURS DE RESULTATS
- Mise en œuvre des 4 demi-journées
- Qualité et effectif des publics cibles touchés : 200 personnes au total, dont une majorité d’agriculteurs des aires de captage prioritaires,
- Contacts individuels post journée en vue d’un accompagnement technique individuel ou collectif (formation) : environ 10 contacts privilégiés qui se sont traduits pas une inscription en formation (accompagnement collectif).
ATOUTS OBSERVES :
- Susciter l’intérêt autour de questions techniques très opérationnelles constitue une porte d’entrée pour s’engager par la suite dans un dispositif d’accompagnement collectif visant à faire évoluer globalement son système de production,
- Grand intérêt porté par les participants à l’approche de terrain : interventions d’agriculteurs expérimentés et parfois de binômes de paysans-formateurs,
- Bonne participation générale, donnant lieu à des inscriptions dans des dispositifs d’accompagnement collectif sur le moyen terme.
- Mise en place d’un groupement d’agriculteurs souhaitant valoriser leur bois bocager en bois d’œuvre.
DIFFICULTES RENCONTREES :
- Relais de communication à améliorer auprès des réseaux agricoles pour mieux faire circuler l’information auprès des agriculteurs des aires de captage,
- Anticiper davantage le relais de la communication par les BV, SIAEP, pour mieux s’adapter aux calendriers de diffusion des lettres d’infos, d’actualisation des agendas des sites internet.
- Nombre de réunions ou de points de préparation nécessaires : entre 2 et 3 par demi-journée.
- Supports de communication produits : un support de communication régional, décliné au niveau de chaque département, et largement diffusé dans les réseaux de développement agricole, tant au niveau régional qu’au niveau local.
- Nombre d’articles diffusés, de mails envoyés : chaque demi-journée technique a donné lieu à au moins un article de valorisation, par la presse généraliste/agricole et/ou via les bulletins d’informations des CIVAM départementaux largement diffusés aux agriculteurs et aux partenaires (collectivités, syndicats d’eau, Bassins Versants…).
- Programme des demi-journées.
INDICATEURS DE RESULTATS
- Mise en œuvre des 4 demi-journées
- Qualité et effectif des publics cibles touchés : 200 personnes au total, dont une majorité d’agriculteurs des aires de captage prioritaires,
- Contacts individuels post journée en vue d’un accompagnement technique individuel ou collectif (formation) : environ 10 contacts privilégiés qui se sont traduits pas une inscription en formation (accompagnement collectif).
ATOUTS OBSERVES :
- Susciter l’intérêt autour de questions techniques très opérationnelles constitue une porte d’entrée pour s’engager par la suite dans un dispositif d’accompagnement collectif visant à faire évoluer globalement son système de production,
- Grand intérêt porté par les participants à l’approche de terrain : interventions d’agriculteurs expérimentés et parfois de binômes de paysans-formateurs,
- Bonne participation générale, donnant lieu à des inscriptions dans des dispositifs d’accompagnement collectif sur le moyen terme.
- Mise en place d’un groupement d’agriculteurs souhaitant valoriser leur bois bocager en bois d’œuvre.
DIFFICULTES RENCONTREES :
- Relais de communication à améliorer auprès des réseaux agricoles pour mieux faire circuler l’information auprès des agriculteurs des aires de captage,
- Anticiper davantage le relais de la communication par les BV, SIAEP, pour mieux s’adapter aux calendriers de diffusion des lettres d’infos, d’actualisation des agendas des sites internet.
Secteur d'activité
Autre
Lieu d'intervention
4 fermes des communes concernées
Niveau géographique
Communal
Commune
Vallons-de-l'Erdre, Sucé-sur-Erdre, Méral, Bouër
Plan national
ENVIRONNEMENT - Plan national santé-environnement 3 (2015-2021)
Action(s) lolf
PSS 15. Prévention des risques liés à l'environnement, au travail et à l'alimentation, PSS 15.2 Environnement et santé
Catégorisation
A1
Développement d'offres de promotion de la santé
Développement d'offres de promotion de la santé
A2
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
Représentation d'intérêts, collaboration entre organisations
A3
Mobilisation sociale
Mobilisation sociale
A4
Développement de compétences personnelles
Développement de compétences personnelles
B1
Offres en matière de promotion de la santé
Offres en matière de promotion de la santé
B2
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
Stratégies de promotion de la santé dans la politique et les institutions
B3
Potentiel social et engagement favorables à la santé
Potentiel social et engagement favorables à la santé
B4
Compétences individuelles favorables à la santé
Compétences individuelles favorables à la santé
C1
Environnement physique favorable à la santé
Environnement physique favorable à la santé
C2
Environnement social favorable à la santé
Environnement social favorable à la santé
C3
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
Ressources personnelles et types de comportement favorables à la santé
D
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)
Augmentation de l'espérance de vie en bonne santé - Amélioration de la qualité de vie - Diminution de la morbidité et de la mortalité (liée à des facteurs de risque)