Interventions à la maison d'arrêt de Laval

2018

Date de début : 19 septembre 2018 Date de fin : 31 octobre 2018
Type d'action : Affichage (papier ou virtuel), stand, distribution de documentation, Atelier collectif (autre que consultation et réunion d’information)
Type d'action précision
Ateliers collectifs

Public : Personnes sous-main de justice
Public précision
Personnes en détention

Nom du lieu de l'action : Maison d'arrêt de Laval
Commune
Laval
Niveau géographique
Départemental
Niveau départemental
Mayenne
Type de lieu : Etablissement pénitentiaire, structure de la PJJ
Objectifs de l'action
Susciter l'intérêt ou l'inscription à l'opération (stand d'information sur l'opération et ses outils, affichage, inviter les fumer à s'inscrire sur le site ou appli TIS...), Créer de l'engagement collectif (défi sportif, manifestation culturelle, concert, animation d’équipe, etc.)

Description
Ateliers collectifs pour les fumeurs volontaires :
- co-animation avec une infirmière du CSAPA 53 référent en milieu carcéral et une animatrice de l'ANPAA 53
- entretien motivationnel pour aider à l'arrêt ou la diminution du tabac
- 4 ateliers proposés d'1H30 tous les 15 jours du 19 septembre au 31 octobre 2018
- 8 personnes maximum

Partenaire de l'action
- Chef d'établissement de la Maison d'arrêt de Laval
- CSAPA 53

Outil et support utilisé
Outils de Santé publique France

Indicateurs d'évaluation de votre action
* Indicateurs quantitatifs :
- 7 inscrits aux ateliers
- Tous ont participé sauf à la dernière séance (5 fumeurs)

* Indicateurs qualitatifs :
- Format et contenu des séances adaptés pour favoriser les échanges
- Groupe assidu et agréable
- Fumeurs impliqués dans la démarche et cheminant dans leur réflexion
- Diminuer le cannabis est plus compliqué
- Richesse des regards croisés avec deux animatrices

Action / Projet intégralement réalisé
Non

Une prise en charge ou un relai des fumeurs ont-ils été proposés après Mois sans tabac
Non

Observation
« La question du tabac est régulièrement interrogée au sein de la maison d’arrêt. La consommation a une place importante lors de la détention. Beaucoup de détenus augmentent leur consommation pour pallier l’ennui, les difficultés de l’enfermement, les répercussions sur l’entourage, calmer les nerfs… » – Coline Perrier animatrice à l’ANPAA 53, Laval