Mois thématiques événementiels Tabac à Antéïa, siège de la Fondation JDB pour la prévention du cancer
2019
Action chaînée avec : Prévention auprès de groupe scolaire à Antéïa - 2018
Porteur de l'action : Fondation JDB pour Prévention Cancer
2 – 4 rue du Mont Louvet 91640 FONTENAY LES BRIIS
01 60 80 64 60
Date de début : 07 novembre 2019
Date de fin : 03 décembre 2019
Type d'action : Atelier collectif (autre que consultation et réunion d’information)
Type d'action précision
Action pédagogique d'éducation pour la santé appliquée à la prévention primaire des cancers.
Public précision
Lycéens en filière professionnelle
Age du public : Adolescents (13-18 ans)
Nom du lieu de l'action :
Antéïa, siège de la Fondation JDB pour la prévention du cancer (Antéïa)
Type de lieu :
Autre
Commune
Fontenay-lès-Briis
Niveau géographique
Départemental
Niveau départemental
Essonne
Type de lieu précision
Centre de prévention en santé
Objectifs de l'action
Informer sur le tabagisme et le sevrage tabagique
Objectifs de l'action précision
- Actions de visibilité, sensibilisation et de recrutement des fumeurs à « Moi(s) sans tabac »
Objectif stratégique : Réduire le tabagisme chez les lycéens en filière professionnelle
Objectif opérationnel 1 : inciter les fumeurs à l’arrêt
Objectif opérationnel 2 : maintenir les non-fumeurs dans leurs comportements vis-à-vis du tabac
- Actions d’accompagnement à l’arrêt du tabac
Objectif stratégique : Accompagner les fumeurs souhaitant arrêter de fumer
Objectif opérationnel : Distribuer des kits de sevrage tabagique aux fumeurs
Objectif stratégique : Réduire le tabagisme chez les lycéens en filière professionnelle
Objectif opérationnel 1 : inciter les fumeurs à l’arrêt
Objectif opérationnel 2 : maintenir les non-fumeurs dans leurs comportements vis-à-vis du tabac
- Actions d’accompagnement à l’arrêt du tabac
Objectif stratégique : Accompagner les fumeurs souhaitant arrêter de fumer
Objectif opérationnel : Distribuer des kits de sevrage tabagique aux fumeurs
Description
Son déroulement
Des lycées professionnels essonniens ont été recrutés, en partenariat avec la DSDEN 91, pour participer à 14 journées (4 journées pendant 4 semaines) dédiées à la prévention du tabagisme en novembre 2019 dans le cadre de l’opération « Mois sans tabac 2019 ». Chaque classe d’un même lycée peut participer à une seule journée.
Les journées comprennent des interventions pédagogiques auprès des élèves encadrées par des professionnels de la prévention.
Chaque journée permet d’intervenir pendant 4h auprès d’environ 50 élèves (l’équivalent de 2 classes), répartis en 4 groupes, soit 16h d’intervention/jour entre 10h00 et 15h00.
2h d’intervention pédagogique, sous forme d’ateliers interactifs, sont programmées à la fois le matin et l’après-midi.
Les thèmes des ateliers
4 jeunes, Maël, Zoé, Théo et Sacha, représentent le fil rouge de la journée. Ils sont suivis dans leurs réflexions et interrogations, lors des différents ateliers :
- Atelier 1 : Pourquoi cette journée sur le tabac ?
- Atelier 2 : Le tabac, tu en penses quoi ?
- Atelier 3 : Pourquoi commence-t-on à fumer (ou pas) ?
- Atelier 4 : Fumer, et après ?
- Atelier 5 : Arrêter de fumer, seul ou accompagné.
Une synthèse après l’atelier 5 est co-construite avec les jeunes.
L’encadrement des ateliers
Les activités ont été notamment encadrées par des professionnels évoluant au sein de l’ANPAA 91 et du CSAPA d’Arpajon, rattaché à l’établissement public de santé Barthélémy Durand.
L’intervention pédagogique de ces professionnels s’est inscrite initialement dans un cadre collectif constituant un terreau favorable pour envisager un suivi des jeunes souhaitant arrêter de fumer.
La distribution des kits de sevrage
Des kits de sevrage tabagique, fournis par la Ligue contre le cancer et en lien avec l’activité de l’ambassadrice du Mois sans tabac, ont été d’une part, mis à disposition en libre accès à Antéïa chaque jour aux jeunes qui souhaitaient en bénéficier, et d’autre part, distribués à l’infirmière de l’établissement le jour-même.
- Nombre de kits pris spontanément pendant la journée par les jeunes ou par l’équipe éducative : 23
- Nombre de kits distribués par les intervenants pendant la journée : 572
- Nombre de kits distribués par l’infirmière scolaire post journée : 6
Des lycées professionnels essonniens ont été recrutés, en partenariat avec la DSDEN 91, pour participer à 14 journées (4 journées pendant 4 semaines) dédiées à la prévention du tabagisme en novembre 2019 dans le cadre de l’opération « Mois sans tabac 2019 ». Chaque classe d’un même lycée peut participer à une seule journée.
Les journées comprennent des interventions pédagogiques auprès des élèves encadrées par des professionnels de la prévention.
Chaque journée permet d’intervenir pendant 4h auprès d’environ 50 élèves (l’équivalent de 2 classes), répartis en 4 groupes, soit 16h d’intervention/jour entre 10h00 et 15h00.
2h d’intervention pédagogique, sous forme d’ateliers interactifs, sont programmées à la fois le matin et l’après-midi.
Les thèmes des ateliers
4 jeunes, Maël, Zoé, Théo et Sacha, représentent le fil rouge de la journée. Ils sont suivis dans leurs réflexions et interrogations, lors des différents ateliers :
- Atelier 1 : Pourquoi cette journée sur le tabac ?
- Atelier 2 : Le tabac, tu en penses quoi ?
- Atelier 3 : Pourquoi commence-t-on à fumer (ou pas) ?
- Atelier 4 : Fumer, et après ?
- Atelier 5 : Arrêter de fumer, seul ou accompagné.
Une synthèse après l’atelier 5 est co-construite avec les jeunes.
L’encadrement des ateliers
Les activités ont été notamment encadrées par des professionnels évoluant au sein de l’ANPAA 91 et du CSAPA d’Arpajon, rattaché à l’établissement public de santé Barthélémy Durand.
L’intervention pédagogique de ces professionnels s’est inscrite initialement dans un cadre collectif constituant un terreau favorable pour envisager un suivi des jeunes souhaitant arrêter de fumer.
La distribution des kits de sevrage
Des kits de sevrage tabagique, fournis par la Ligue contre le cancer et en lien avec l’activité de l’ambassadrice du Mois sans tabac, ont été d’une part, mis à disposition en libre accès à Antéïa chaque jour aux jeunes qui souhaitaient en bénéficier, et d’autre part, distribués à l’infirmière de l’établissement le jour-même.
- Nombre de kits pris spontanément pendant la journée par les jeunes ou par l’équipe éducative : 23
- Nombre de kits distribués par les intervenants pendant la journée : 572
- Nombre de kits distribués par l’infirmière scolaire post journée : 6
Partenaire de l'action
Partenaires financiers :
Conseil départemental de l’Essonne
Comité de l’Essonne de la Ligue contre le cancer
CPAM91
Partenaires opérationnels
ANPAA91
CSAPA d'Arpajon - EPS Barthélémy Durand
Conseil départemental de l’Essonne
Comité de l’Essonne de la Ligue contre le cancer
CPAM91
Partenaires opérationnels
ANPAA91
CSAPA d'Arpajon - EPS Barthélémy Durand
Outil et support utilisé
Outils de Santé publique France
Outil et support utilisé précision
Kits de sevrage tabagique
Financeur
Assurance Maladie, Régime général, Collectivités territoriales, Conseils départementaux, Fonds propres, Autre
Indicateurs d'évaluation de votre action
Questionnaires avant/après à J+3 mois
Caisse de rattachement (CPAM, CGSS)
911-CPAM Evry
Action / Projet intégralement réalisé
Oui
Nombre estimé de fumeurs recrutés pour le Mois sans tabac
209
Nombre estimé de personnes sensibilisées
578
Une prise en charge ou un relai des fumeurs ont-ils été proposés après Mois sans tabac
Non
Observation
Atteinte du public cible
Les lycéens en filière professionnelle ont été ciblés.
L’action a permis d’intervenir auprès de 578 lycéens en filière professionnelle qui, avant intervention, présentaient les profils suivants :
- Filles 51% / Garçons 49%
- Moyenne d’âge : 16 ans
- Profils tabagiques (sur 568 répondants)
o 209 fumeurs soit 36.8%
112 utilisent la cigarette soit 53.6%
142 utilisent la chicha soit 67.9%
78 utilisent le joint de cannabis soit 37.3%
o 392 soit 69% ont déclaré avoir déjà essayé du tabac au moins une fois dans leur vie
o 109 vapoteurs soit 19.2%
o 308 expérimentateurs de la cigarette électronique soit 54.2%
o 91 poly-consommateurs (au moins 2 moyens de consommation) soit 43.5%
Commentaires – analyse
Les élèves ont été moins nombreux que prévu (960) car :
-Les effectifs sont plus réduits dans les classes des lycées professionnels par rapport aux lycées généraux
-Le nombre de journées organisées a été amputé de 2 journées (1 journée annulée au dernier moment sans possibilité de recruter un autre lycée et un jour férié)
Ecarts entre ce qui était prévu et ce qui a été réalisé
Concernant le processus :
L’action a été menée conformément à celle prévue.
Commentaires – analyse :
On peut néanmoins constater que le recrutement des lycées a compris quelques difficultés pour plusieurs raisons, notamment :
-Le sujet tabac qui rencontre des réticences au niveau des équipes encadrantes,
-Un calendrier contraint entre la rentrée scolaire et le mois sans tabac. Nous avons répondu à cette difficulté en proposant notamment des interventions auprès de toutes les classes d’un même niveau au sein d’un lycée (exemple : lycée Mandela à Etampes).
Concernant l’impact :
Le protocole d’évaluation prévoyait un recueil de données avant et après (J+3 mois) les interventions.
Avant les interventions
Un questionnaire anonymisé AVANT les interventions pédagogiques a été soumis auprès de tous les élèves bénéficiaires soit 578. 568 y ont répondu.
Différentes questions ont été posées aux jeunes afin de recueillir leurs connaissances et leurs représentations portant sur le moi(s) sans tabac, l’influence de l’environnement sur les comportements vis-à-vis du tabac ou encore les normes sociales.
Ainsi, 399 jeunes sur 560 répondants (soit 71%) pensaient que le moi(s) sans tabac s’adressait à tout le monde et 156 jeunes (soit 28%) pensaient qu’il s’adressait uniquement aux fumeurs.
Concernant les connaissances des jeunes sur la relation tabac-cerveau-dépendance, 430 jeunes sur 564 répondants (soit 76%) pensaient que commencer à fumer du tabac au collège ou lycée représentait un risque de devenir accro plus rapidement qu’à l’âge adulte.
En ce qui concerne l’influence des médias sur l’initiation tabagique, 35% des jeunes (soit 196 sur 563 répondants) estimaient que le fait de regarder des acteurs fumer dans une série ou un film ne pouvait pas inciter les jeunes à fumer.
Les jeunes ont par ailleurs tendance à surestimer la prévalence du tabagisme quotidien chez leurs pairs : en effet, la moitié estimait que dans une classe de 30 élèves de 17 ans en Terminale, en France, au moins 15 étaient des fumeurs quotidiens.
Concernant la résistance à l’influence des pairs, 337 jeunes non-fumeurs sur 359 (soit 94%) déclaraient refuser une cigarette ou un joint de cannabis de la part de leur meilleur ami. Cependant, 75 jeunes non-fumeurs sur 359 (soit 21%) déclaraient accepter la chicha proposée par leur meilleur ami et 45 jeunes non-fumeurs sur 359 (soit 12,5%) déclaraient ne pas savoir ce qu’ils feraient dans cette situation.
Enfin, on notera que sur 160 fumeurs répondants, 40 déclarent ne pas savoir comment arrêter de fumer (soit 25%). Sur 151 fumeurs répondants, 96 déclarent avoir envie d’arrêter le tabac soit 63.6%.
Ces données seront de nouveau recueillies fin-février/début mars à l’aide du même questionnaire afin d’évaluer l’évolution des connaissances et des représentations des jeunes sur la thématique tabac.
L’évaluation d’impact sur ces sujets sera communiquée à l’issue.
Conséquences imprévues de l’action et pistes d’amélioration
A ce stade de l’évaluation, incomplète, on peut identifier quelques points qui ont représenté des freins et qui pourraient faire l’objet de solutions permettant de renforcer pour les années à venir l’efficacité de l’action.
Concernant l’objet Prévention Tabac et la difficulté de recrutements d’établissements scolaires : une ouverture de la thématique vers Addiction Tabac pourrait mobiliser de façon plus conséquente les établissements scolaires au regard d’objectifs pédagogiques portant sur l’acquisition de compétences psycho-sociales et qui constitueraient une approche plus transverse entre les politiques de santé et d’éducation.
Concernant l’accompagnement et le suivi des élèves, l’efficacité de notre action pourrait être renforcée si l’action était renforcée auprès de l’environnement des jeunes selon une approche socio-écologique.
Il conviendrait d’imaginer des actions spécifiques pour associer à minima les parents et les équipes éducatives des établissements.
Les pistes d’évolution pourraient comprendre, par exemple :
Une communication d’une lettre d’information portant sur le tabac, avec forme interactive, pour chaque parent d’élève
L’observation et le décryptage de nos interventions pour les équipes éducatives des lycées participants
Les lycéens en filière professionnelle ont été ciblés.
L’action a permis d’intervenir auprès de 578 lycéens en filière professionnelle qui, avant intervention, présentaient les profils suivants :
- Filles 51% / Garçons 49%
- Moyenne d’âge : 16 ans
- Profils tabagiques (sur 568 répondants)
o 209 fumeurs soit 36.8%
112 utilisent la cigarette soit 53.6%
142 utilisent la chicha soit 67.9%
78 utilisent le joint de cannabis soit 37.3%
o 392 soit 69% ont déclaré avoir déjà essayé du tabac au moins une fois dans leur vie
o 109 vapoteurs soit 19.2%
o 308 expérimentateurs de la cigarette électronique soit 54.2%
o 91 poly-consommateurs (au moins 2 moyens de consommation) soit 43.5%
Commentaires – analyse
Les élèves ont été moins nombreux que prévu (960) car :
-Les effectifs sont plus réduits dans les classes des lycées professionnels par rapport aux lycées généraux
-Le nombre de journées organisées a été amputé de 2 journées (1 journée annulée au dernier moment sans possibilité de recruter un autre lycée et un jour férié)
Ecarts entre ce qui était prévu et ce qui a été réalisé
Concernant le processus :
L’action a été menée conformément à celle prévue.
Commentaires – analyse :
On peut néanmoins constater que le recrutement des lycées a compris quelques difficultés pour plusieurs raisons, notamment :
-Le sujet tabac qui rencontre des réticences au niveau des équipes encadrantes,
-Un calendrier contraint entre la rentrée scolaire et le mois sans tabac. Nous avons répondu à cette difficulté en proposant notamment des interventions auprès de toutes les classes d’un même niveau au sein d’un lycée (exemple : lycée Mandela à Etampes).
Concernant l’impact :
Le protocole d’évaluation prévoyait un recueil de données avant et après (J+3 mois) les interventions.
Avant les interventions
Un questionnaire anonymisé AVANT les interventions pédagogiques a été soumis auprès de tous les élèves bénéficiaires soit 578. 568 y ont répondu.
Différentes questions ont été posées aux jeunes afin de recueillir leurs connaissances et leurs représentations portant sur le moi(s) sans tabac, l’influence de l’environnement sur les comportements vis-à-vis du tabac ou encore les normes sociales.
Ainsi, 399 jeunes sur 560 répondants (soit 71%) pensaient que le moi(s) sans tabac s’adressait à tout le monde et 156 jeunes (soit 28%) pensaient qu’il s’adressait uniquement aux fumeurs.
Concernant les connaissances des jeunes sur la relation tabac-cerveau-dépendance, 430 jeunes sur 564 répondants (soit 76%) pensaient que commencer à fumer du tabac au collège ou lycée représentait un risque de devenir accro plus rapidement qu’à l’âge adulte.
En ce qui concerne l’influence des médias sur l’initiation tabagique, 35% des jeunes (soit 196 sur 563 répondants) estimaient que le fait de regarder des acteurs fumer dans une série ou un film ne pouvait pas inciter les jeunes à fumer.
Les jeunes ont par ailleurs tendance à surestimer la prévalence du tabagisme quotidien chez leurs pairs : en effet, la moitié estimait que dans une classe de 30 élèves de 17 ans en Terminale, en France, au moins 15 étaient des fumeurs quotidiens.
Concernant la résistance à l’influence des pairs, 337 jeunes non-fumeurs sur 359 (soit 94%) déclaraient refuser une cigarette ou un joint de cannabis de la part de leur meilleur ami. Cependant, 75 jeunes non-fumeurs sur 359 (soit 21%) déclaraient accepter la chicha proposée par leur meilleur ami et 45 jeunes non-fumeurs sur 359 (soit 12,5%) déclaraient ne pas savoir ce qu’ils feraient dans cette situation.
Enfin, on notera que sur 160 fumeurs répondants, 40 déclarent ne pas savoir comment arrêter de fumer (soit 25%). Sur 151 fumeurs répondants, 96 déclarent avoir envie d’arrêter le tabac soit 63.6%.
Ces données seront de nouveau recueillies fin-février/début mars à l’aide du même questionnaire afin d’évaluer l’évolution des connaissances et des représentations des jeunes sur la thématique tabac.
L’évaluation d’impact sur ces sujets sera communiquée à l’issue.
Conséquences imprévues de l’action et pistes d’amélioration
A ce stade de l’évaluation, incomplète, on peut identifier quelques points qui ont représenté des freins et qui pourraient faire l’objet de solutions permettant de renforcer pour les années à venir l’efficacité de l’action.
Concernant l’objet Prévention Tabac et la difficulté de recrutements d’établissements scolaires : une ouverture de la thématique vers Addiction Tabac pourrait mobiliser de façon plus conséquente les établissements scolaires au regard d’objectifs pédagogiques portant sur l’acquisition de compétences psycho-sociales et qui constitueraient une approche plus transverse entre les politiques de santé et d’éducation.
Concernant l’accompagnement et le suivi des élèves, l’efficacité de notre action pourrait être renforcée si l’action était renforcée auprès de l’environnement des jeunes selon une approche socio-écologique.
Il conviendrait d’imaginer des actions spécifiques pour associer à minima les parents et les équipes éducatives des établissements.
Les pistes d’évolution pourraient comprendre, par exemple :
Une communication d’une lettre d’information portant sur le tabac, avec forme interactive, pour chaque parent d’élève
L’observation et le décryptage de nos interventions pour les équipes éducatives des lycées participants