Fiche action 1 : Mois sans tabac tous ensemble - ESAT Ateliers des talents
2020
Porteur de l'action : Service en Amont - Centre de Soins, d'Accompagnement et de Prévention en Addictions Les Wads - CMSEA (Service en Amont CSAPA les Wads - CMSEA)
20 rue gambetta 26 rue du Wads Billy, 57000 Metz
03 87 75 15 28
Date de début : 01 octobre 2020
Date de fin : 30 novembre 2020
Type d'action : Consultation individuelle ou collective pour le sevrage tabagique, Atelier collectif (autre que consultation et réunion d’information)
Type d'action précision
Action en 4 étapes
1. Action de visibilité, sensibilisation et de recrutement des fumeurs à « Moi(s) sans tabac »
2. Action collective d’accompagnement à l’arrêt du tabac le mardi 20 octobre 2020
3. 1 mois de défi adapté, grâce à l’accompagnement des professionnels de l’ESAT et à l’envoi de fiches de suivi de la consommation
4. Bilan avec les professionnels de l’ESAT Atelier des Talents
1. Action de visibilité, sensibilisation et de recrutement des fumeurs à « Moi(s) sans tabac »
2. Action collective d’accompagnement à l’arrêt du tabac le mardi 20 octobre 2020
3. 1 mois de défi adapté, grâce à l’accompagnement des professionnels de l’ESAT et à l’envoi de fiches de suivi de la consommation
4. Bilan avec les professionnels de l’ESAT Atelier des Talents
Public : Personnes handicapées
Nom du lieu de l'action :
L'ESAT « Atelier des Talents » - CMSEA (ESAT)
Type de lieu :
Etablissement de santé ou médico-social (hôpital, clinique, maternité, centre de soins, maison ou centre de santé, cabinet médical, pharmacie d’officine, CSAPA, ESMS, service de protection maternelle et infantile…)
Commune
Metz
Niveau géographique
Communal
Niveau départemental
Moselle
Objectifs de l'action
Susciter l'intérêt ou l'inscription à l'opération (stand d'information sur l'opération et ses outils, affichage, inviter les fumer à s'inscrire sur le site ou appli TIS...), Informer sur le tabagisme et le sevrage tabagique, Accompagner l'arrêt (consultation d'arrêt du tabac, remise d'un starter de 7 jours de TSN, atelier collectif etc.), Créer de l'engagement collectif (défi sportif, manifestation culturelle, concert, animation d’équipe, etc.)
Description
1ère étape : action de visibilité, sensibilisation et de recrutement des fumeurs à « Moi(s) sans Tabac
Par mails et échanges téléphoniques
Réflexion avec la cheffe de service de l’ESAT Atelier des Talents pour connaître les besoins et définir des actions (activités et outils éducatifs les plus adaptés possibles)
Selon la cheffe de service, fumer, permet à certaines personnes de trouver leur équilibre psychique.
- Dans le cadre des réflexions pendant le temps de préparation, proposition d’activités d’expression personnelle liées aux compétences psychosociales, pour proposer, afin de soutenir la démarche d’arrêt.
- Pour profiter au maximum des temps d’accompagnement des séances « Moi(s) sans Tabac », les professionnels de l’établissement avaient demandé aux personnes participant aux séances, de remplir un test de Fagerström.
Selon la cheffe de service, le public a besoin d’être acteur dans la démarche, pour mieux mémoriser les informations.
2ème étape : Action collective d’accompagnement à l’arrêt du tabac le mardi 20 octobre 2020 à l’ESAT Atelier des Talents du CMSEA
Groupe déjà constitué par les professionnels de l’établissement. 9 personnes étaient présentes, appartenant à 2 ou 3 ateliers différents, donc qui se connaissent peu. Néanmoins, elles se côtoient tous les jours et une dynamique de groupe positive a pu être créée, avec l’aide des professionnels de l’établissement, qui ont accompagné les personnes entre chaque séance dans la réalisation de leur défi.
Lors de cette première séance, les personnes présentes ont eu quelques difficultés à exprimer leurs émotions. En effet, les personnes utilisaient pour la plupart un vocabulaire médical (dépendance, nicotine, cancer…), mais peu d’entre elles disaient comment elles se sentaient lorsqu’elles fumaient (effets positifs et négatifs). Les personnes sont accompagnées par les éducateurs et les professionnels de santé de l’établissement dans leur démarche d’arrêt, mais au quotidien, ils aiment fumer ensemble pendant les pauses, car c’est ce qui leur permet de créer du lien (pour la plupart, la motivation à la primo-consommation a été de ne pas se sentir seul).
Les actions prévues n’ont donc pas pu être réalisées et ont donc été adaptées.
Du contenu d’information, avec pour support l’enveloppe Moi(s) sans tabac a donc été utilisé. Les personnes ont alors trouvé des réponses à leurs questions concernant la dépendance à la nicotine, qui, leur donnait l’impression d’être obligé de fumer et ont progressivement adhéré à l’idée que « la cigarette n’était pas plus forte qu’elle ».
Grâce à la participation des professionnels de l’établissement (une CESF, une éducatrice spécialisée, une élève éducatrice spécialisée et une psychologue, les professionnels ressources (professeur de sport adapté, éducatrice qui propose des ateliers de relaxation, professionnels de l’établissement pour être écouté, soutenu et encouragé au quotidien) ont pu être identifiés et présentés comme soutenants dans ce défi.
Des renforcements positifs ont permis à chacun de se sentir en capacité de tenter de relever ce défi.
Adapter le défi « Moi(s) sans tabac à une réduction progressive, en lien avec les actions des professionnels, qui, sur demande de la personne, gèrent la quantité de cigarettes quotidienne et/ou proposent des activités sportives ou de relaxation, a été indispensable, car au cours de la discussion, les personnes n’arrivaient que peu à se situer dans leurs consommations, avec des volontés ambivalentes (faire partie du groupe de fumeurs pendant les pauses pour ne pas rester seul / arrêter pour éviter les complications médicales / fumer par plaisir / faire du sport…).
Le défi de réduction progressive, a permis, grâce à la création d’un outil de suivi de consommation personnalisé, d’inscrire l’action du Moi(s) sans tabac dans le quotidien des personnes, grâce à la mobilisation active et soutenante des professionnels de l’établissement.
3ème étape : Un mois de défi adapté, grâce à l’accompagnement des professionnels de l’ESAT et à l’envoi de fiches de suivi de leurs consommations
Suite à l’atelier collectif, 6 personnes sur les 9 présentes ont voulu relever le défi de réduire sa consommation de tabac. Sur une durée d’un mois, les professionnels de l’ESAT (deux éducatrices, une CESF et les éducateurs ayant des ateliers spécifiques – sport et relaxation), ont accompagné les personnes au quotidien pour qu’elles expriment leurs difficultés. Un autre temps d’intervention collective était prévu le 3 novembre, mais les mesures gouvernementales concernant l’ESAT suite au reconfinement, n’ont été annoncées après quelques jours. La décision a donc été prise de poursuivre l’accompagnement à distance. Pour cela, tout au long du mois, deux outils personnalisés de suivi de la consommation ont été envoyés aux professionnels de l’ESTA, qui les ont distribués à chaque participant, en tenant compte de l’objectif de réduction que chacun s’était fixé.
4ème étape : Bilan téléphonique avec les professionnels de l’ESAT Atelier des Talents
Après le reconfinement, les professionnels ont accompagné au quotidien les personnes qui s’étaient inscrites dans la démarche (soit, 6 personnes sur les 9 présentes).
Malgré le contexte anxiogène du reconfinement, des entretiens quotidiens ont été mené par les professionnels de l’établissement. Elles ont noté que 2 personnes ont débuté la cigarette électronique pour réduire progressivement et qu’une autre personne a réduit sa consommation selon l’objectif qu’elle s’était fixé, soit enlever la cigarette d’après le repas. Pour les autres personnes, l’accompagnement quotidien par les professionnels n’a pas permis de les accompagner selon leurs besoins, car selon les professionnels, leur déficience (troubles de la mémorisation donc difficulté à se rendre compte de leur consommation) aurait demandé d’être accompagné tout au long de la journée. Les professionnels ont donc fait le relais dans le quotidien des personnes
Comment améliorer l’action pour l’année prochaine ?
L’action du Moi(s) sans tabac se fait ponctuellement. Or, pour ce public, qui était demandeur, seule l’instauration d’une routine permet d’accompagner les personnes dans la modification de leurs habitudes.
L’outil de suivi de la consommation au jour le jour, avec des entretiens quotidiens avec les personnes n’a pas suffi à soutenir leur démarche malgré leur forte motivation. le travail a distance dû au reconfinement a aussi ajouté de la difficulté.
Pour améliorer l’impact du Moi(s) sans tabac, une possibilité d’accueil tout au long de l’année en CJC pour booster l’impact du défi Moi(s) sans Tabac serait possible ainsi qu’une sensibilisation des professionnels à l’accompagnement en addictologie pour soutenir leurs initiatives au sein de l’ESAt (accompagnement dans la gestion de la consommation quand ils donnent les cigarettes à la demande ; utilisation de la sophrologie ; écoute et aide à la verbalisation pour l’usage de la cigarette pour surmonter des émotions négatives…)
Par mails et échanges téléphoniques
Réflexion avec la cheffe de service de l’ESAT Atelier des Talents pour connaître les besoins et définir des actions (activités et outils éducatifs les plus adaptés possibles)
Selon la cheffe de service, fumer, permet à certaines personnes de trouver leur équilibre psychique.
- Dans le cadre des réflexions pendant le temps de préparation, proposition d’activités d’expression personnelle liées aux compétences psychosociales, pour proposer, afin de soutenir la démarche d’arrêt.
- Pour profiter au maximum des temps d’accompagnement des séances « Moi(s) sans Tabac », les professionnels de l’établissement avaient demandé aux personnes participant aux séances, de remplir un test de Fagerström.
Selon la cheffe de service, le public a besoin d’être acteur dans la démarche, pour mieux mémoriser les informations.
2ème étape : Action collective d’accompagnement à l’arrêt du tabac le mardi 20 octobre 2020 à l’ESAT Atelier des Talents du CMSEA
Groupe déjà constitué par les professionnels de l’établissement. 9 personnes étaient présentes, appartenant à 2 ou 3 ateliers différents, donc qui se connaissent peu. Néanmoins, elles se côtoient tous les jours et une dynamique de groupe positive a pu être créée, avec l’aide des professionnels de l’établissement, qui ont accompagné les personnes entre chaque séance dans la réalisation de leur défi.
Lors de cette première séance, les personnes présentes ont eu quelques difficultés à exprimer leurs émotions. En effet, les personnes utilisaient pour la plupart un vocabulaire médical (dépendance, nicotine, cancer…), mais peu d’entre elles disaient comment elles se sentaient lorsqu’elles fumaient (effets positifs et négatifs). Les personnes sont accompagnées par les éducateurs et les professionnels de santé de l’établissement dans leur démarche d’arrêt, mais au quotidien, ils aiment fumer ensemble pendant les pauses, car c’est ce qui leur permet de créer du lien (pour la plupart, la motivation à la primo-consommation a été de ne pas se sentir seul).
Les actions prévues n’ont donc pas pu être réalisées et ont donc été adaptées.
Du contenu d’information, avec pour support l’enveloppe Moi(s) sans tabac a donc été utilisé. Les personnes ont alors trouvé des réponses à leurs questions concernant la dépendance à la nicotine, qui, leur donnait l’impression d’être obligé de fumer et ont progressivement adhéré à l’idée que « la cigarette n’était pas plus forte qu’elle ».
Grâce à la participation des professionnels de l’établissement (une CESF, une éducatrice spécialisée, une élève éducatrice spécialisée et une psychologue, les professionnels ressources (professeur de sport adapté, éducatrice qui propose des ateliers de relaxation, professionnels de l’établissement pour être écouté, soutenu et encouragé au quotidien) ont pu être identifiés et présentés comme soutenants dans ce défi.
Des renforcements positifs ont permis à chacun de se sentir en capacité de tenter de relever ce défi.
Adapter le défi « Moi(s) sans tabac à une réduction progressive, en lien avec les actions des professionnels, qui, sur demande de la personne, gèrent la quantité de cigarettes quotidienne et/ou proposent des activités sportives ou de relaxation, a été indispensable, car au cours de la discussion, les personnes n’arrivaient que peu à se situer dans leurs consommations, avec des volontés ambivalentes (faire partie du groupe de fumeurs pendant les pauses pour ne pas rester seul / arrêter pour éviter les complications médicales / fumer par plaisir / faire du sport…).
Le défi de réduction progressive, a permis, grâce à la création d’un outil de suivi de consommation personnalisé, d’inscrire l’action du Moi(s) sans tabac dans le quotidien des personnes, grâce à la mobilisation active et soutenante des professionnels de l’établissement.
3ème étape : Un mois de défi adapté, grâce à l’accompagnement des professionnels de l’ESAT et à l’envoi de fiches de suivi de leurs consommations
Suite à l’atelier collectif, 6 personnes sur les 9 présentes ont voulu relever le défi de réduire sa consommation de tabac. Sur une durée d’un mois, les professionnels de l’ESAT (deux éducatrices, une CESF et les éducateurs ayant des ateliers spécifiques – sport et relaxation), ont accompagné les personnes au quotidien pour qu’elles expriment leurs difficultés. Un autre temps d’intervention collective était prévu le 3 novembre, mais les mesures gouvernementales concernant l’ESAT suite au reconfinement, n’ont été annoncées après quelques jours. La décision a donc été prise de poursuivre l’accompagnement à distance. Pour cela, tout au long du mois, deux outils personnalisés de suivi de la consommation ont été envoyés aux professionnels de l’ESTA, qui les ont distribués à chaque participant, en tenant compte de l’objectif de réduction que chacun s’était fixé.
4ème étape : Bilan téléphonique avec les professionnels de l’ESAT Atelier des Talents
Après le reconfinement, les professionnels ont accompagné au quotidien les personnes qui s’étaient inscrites dans la démarche (soit, 6 personnes sur les 9 présentes).
Malgré le contexte anxiogène du reconfinement, des entretiens quotidiens ont été mené par les professionnels de l’établissement. Elles ont noté que 2 personnes ont débuté la cigarette électronique pour réduire progressivement et qu’une autre personne a réduit sa consommation selon l’objectif qu’elle s’était fixé, soit enlever la cigarette d’après le repas. Pour les autres personnes, l’accompagnement quotidien par les professionnels n’a pas permis de les accompagner selon leurs besoins, car selon les professionnels, leur déficience (troubles de la mémorisation donc difficulté à se rendre compte de leur consommation) aurait demandé d’être accompagné tout au long de la journée. Les professionnels ont donc fait le relais dans le quotidien des personnes
Comment améliorer l’action pour l’année prochaine ?
L’action du Moi(s) sans tabac se fait ponctuellement. Or, pour ce public, qui était demandeur, seule l’instauration d’une routine permet d’accompagner les personnes dans la modification de leurs habitudes.
L’outil de suivi de la consommation au jour le jour, avec des entretiens quotidiens avec les personnes n’a pas suffi à soutenir leur démarche malgré leur forte motivation. le travail a distance dû au reconfinement a aussi ajouté de la difficulté.
Pour améliorer l’impact du Moi(s) sans tabac, une possibilité d’accueil tout au long de l’année en CJC pour booster l’impact du défi Moi(s) sans Tabac serait possible ainsi qu’une sensibilisation des professionnels à l’accompagnement en addictologie pour soutenir leurs initiatives au sein de l’ESAt (accompagnement dans la gestion de la consommation quand ils donnent les cigarettes à la demande ; utilisation de la sophrologie ; écoute et aide à la verbalisation pour l’usage de la cigarette pour surmonter des émotions négatives…)
Outil et support utilisé
Test de Fagerström, Outils de Santé publique France
Outil et support utilisé précision
Enveloppes Moi(s) sans Tabac – brochures tabac Info Service
Financeur
Assurance Maladie, Régime général
Cette action contribue au projet suivant
Indicateurs d'évaluation de votre action
Nombre de personnes déclarant avoir appris des choses concernant la consommation de tabac : 6 personnes
Nature des choses apprises : la dépendance à la nicotine n’est pas insurmontable : il est possible de créer un lien d’entraide plutôt que d’utiliser la cigarette pour être avec les autres.
Nombre de personnes déclarant avoir pris connaissance de risques : les risques avaient déjà été largement présentés par les professionnels de santé et éducatifs de l’ESAT
Nombre de personnes souhaitant modifier leur consommation pour réduire ces risques : 6 personnes
Nature des démarches de changements des consommations en vue de réduire les risques liés : suppression d’1 ou 2 cigarettes quotidiennes ; utilisation de la cigarette électronique ; aller aux ateliers sport, relaxation et/ou parler avec les éducateurs pour soutenir la démarche de changement
Nature de la participation aux groupes : atelier collectif, participation libre et accompagnée dans la verbalisation
Nombre de personnes déclarant mieux cerner leur consommation : les personnes n’avaient pas de visibilité de leur consommation, ils s’appuient très fréquemment sur les éducateurs pour qu’ils gèrent pour eux le nombre de cigarettes
Nombre de personnes ayant bénéficié de l’espace collectif :
9 personnes
Nombre de personnes ayant bénéficié de l’espace individuel :
6 personnes (accompagnements individuels grâce aux professionnels de l’ESAT, à cause du reconfinement et avec l’aide des fiches de suivi individuelles)
Nombre de personnes ayant bénéficié des deux espaces
6 personnes
Nombre d’ateliers collectifs prévus/réalisés :
1 atelier collectif prévu / 1 atelier collectif réalisé (le second pour redynamiser la démarche a dû être annulé)
Calendrier prévu respecté (temps d’échange avec les professionnels de mi-septembre à début octobre et temps collectif avec les usagers courant octobre)
Proposer un espace individuel : grâce à l’implication des professionnels de l’ESAT, l’accompagnement individuel a pu être poursuivi malgré le reconfinement.
Nombre de personnes ayant souhaité bénéficier d’un espace individuel :
Les 6 personnes qui ont accepté de relever le défi
Nombre d’entretiens individuels prévus/réalisés : le temps individuel n’a pas pu être réalisé à cause du reconfinement. Il a donc été remplacé par un accompagnement au quotidien par les professionnels de l’ESAT
Nature des choses apprises : la dépendance à la nicotine n’est pas insurmontable : il est possible de créer un lien d’entraide plutôt que d’utiliser la cigarette pour être avec les autres.
Nombre de personnes déclarant avoir pris connaissance de risques : les risques avaient déjà été largement présentés par les professionnels de santé et éducatifs de l’ESAT
Nombre de personnes souhaitant modifier leur consommation pour réduire ces risques : 6 personnes
Nature des démarches de changements des consommations en vue de réduire les risques liés : suppression d’1 ou 2 cigarettes quotidiennes ; utilisation de la cigarette électronique ; aller aux ateliers sport, relaxation et/ou parler avec les éducateurs pour soutenir la démarche de changement
Nature de la participation aux groupes : atelier collectif, participation libre et accompagnée dans la verbalisation
Nombre de personnes déclarant mieux cerner leur consommation : les personnes n’avaient pas de visibilité de leur consommation, ils s’appuient très fréquemment sur les éducateurs pour qu’ils gèrent pour eux le nombre de cigarettes
Nombre de personnes ayant bénéficié de l’espace collectif :
9 personnes
Nombre de personnes ayant bénéficié de l’espace individuel :
6 personnes (accompagnements individuels grâce aux professionnels de l’ESAT, à cause du reconfinement et avec l’aide des fiches de suivi individuelles)
Nombre de personnes ayant bénéficié des deux espaces
6 personnes
Nombre d’ateliers collectifs prévus/réalisés :
1 atelier collectif prévu / 1 atelier collectif réalisé (le second pour redynamiser la démarche a dû être annulé)
Calendrier prévu respecté (temps d’échange avec les professionnels de mi-septembre à début octobre et temps collectif avec les usagers courant octobre)
Proposer un espace individuel : grâce à l’implication des professionnels de l’ESAT, l’accompagnement individuel a pu être poursuivi malgré le reconfinement.
Nombre de personnes ayant souhaité bénéficier d’un espace individuel :
Les 6 personnes qui ont accepté de relever le défi
Nombre d’entretiens individuels prévus/réalisés : le temps individuel n’a pas pu être réalisé à cause du reconfinement. Il a donc été remplacé par un accompagnement au quotidien par les professionnels de l’ESAT
Caisse de rattachement (CPAM, CGSS)
571-CPAM Moselle
Action / Projet intégralement réalisé
Non
Si ce n’est pas le cas, précisez l’intitulé des actions qui ont été totalement annulées
1ère étape : ½ journée de temps d’échange avec les professionnels de l’ESAT ;
2ème étape : ½ journée d’intervention le 20/10/2020 ;
3ème étape : ½ journée d’échanges par mail et par téléphone pour créer et envoyer des outils éducatifs pour le défi adapté du Moi(s) sans tabac
4ème étape : 1h pour le bilan téléphonique avec les professionnels de l’ESAT
2ème étape : ½ journée d’intervention le 20/10/2020 ;
3ème étape : ½ journée d’échanges par mail et par téléphone pour créer et envoyer des outils éducatifs pour le défi adapté du Moi(s) sans tabac
4ème étape : 1h pour le bilan téléphonique avec les professionnels de l’ESAT
Autre motif, précisez :
restriction sanitaire Covid
Montant du financement attribué pour le projet/l’action par la CPAM/CGSS
800
Montant du budget réellement consommé pour le projet/l’action
400
Autre, précisez :
restriction sanitaire Covid
Nombre estimé de fumeurs recrutés pour le Mois sans tabac
6
Nombre estimé de personnes sensibilisées
9
Une prise en charge ou un relai des fumeurs ont-ils été proposés après Mois sans tabac
Non